Saumos : Le torchon brûle

L'assemblée générale de la DFCI (Défense des forêts contre l'incendie), sous la présidence de Jean Peragallo, a rassemblé une trentaine de personnes, mais avec les pouvoirs, donnés à l'hectare, cela représentait 122 adhérents. Quorum atteint.

 Photo B. Duporge

L'Assemblée Générale de la défense des forêts contre l'incendie.

Les comptes approuvés, Jean Peragallo en vint au rapport moral. Il se dit inquiet des rapports entre la mairie et la DFCI lors des incendies, cinq en 2011, n'étant pas prévenu à chacun d'eux. Le lieutenant Fuster précisa que systématiquement, le maire était informé. Le maire fit suite en précisant qu'il appelait systématiquement le président, et, si celui-ci ne lui répondait pas, il appelait aussitôt un membre du bureau.

Le président passa à la garde du feu, un membre du bureau disant : « Ce n'est pas à nous de faire ce travail » et s'inquiéta du manque de moyen. Le maire et le lieutenant Fuster sont d'accords : cette garde incombe à la commune, qui réquisitionne le personnel nécessaire pour la réaliser, y compris les gens de la DFCI, ils sont là pour ça. On comprend bien que la communication n'est pas excellente entre DFCI et commune.

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