15 mai 2018
Une vie perdue ne se rattrape jamais
Sud-Ouest du 12 mai 2018
Courrier des lecteurs : Plus jamais ça !
Plus jamais ça! Le calvaire de Naomi Musenga montre, une fois de plus, les graves manquements de nos services d’urgence ! Il serait temps que nos hommes politiques fréquentent d’autres établissements hospitaliers que les cliniques privées où les riches sont accueillis à bras ouverts. Il y a urgence dans tous les sens du terme. Le Samu n’en peut plus et croule sous des contraintes insoutenables. Fatalement et finalement la catastrophe de cette jeune fille de 22 ans sonne le glas. Mais il est trop tard, une vie perdue ne se rattrape jamais !
François Monnier, Blois (41)
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