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14 décembre 2021

Covid-19

Sud-Ouest du 14 décembre 2021

2021 12 14 SO Une sixième vague en janvier en France

2021 12 14 SO Une sixième vague en janvier en France2

2021 12 14 SO Vaccination des 5 11 ans priorité aux plus fragiles

2021 12 14 SO Vaccination des 5 11 ans priorité aux plus fragiles2

2021 12 14 SO Le Covid dans le monde

2021 12 14 SO Le Covid dans le monde2

2021 12 14 SO Le vaccibus sur le bassin

LCI du 14 décembre 2021 

EN DIRECT - Covid-19 : "Il faut se préparer" au déploiement du variant Omicron, prévient Jean Castex

CORONAVIRUS - Le Premier ministre assure ce mardi qu'"on ne sait pas exactement quand le variant Omicron va se déployer [...] mais qu'il faut s'y préparer car finalement les variants finissent toujours pas s'imposer". Suivez les dernières infos sur la pandémie.

2021 12 14 FFP2

LCI du 14 décembre 2021 

Covid-19 : les masques FFP2 contenant du graphène ne doivent plus être utilisés, estime l'Anses

CRISE SANITAIRE - L'agence nationale de sécurité sanitaire juge ce mardi que les masques FFP2 contenant du graphène ne doivent plus être utilisés, faute de données sur la toxicité. Ils avaient déjà été provisoirement suspendus en France.

L'utilisation des masques FFP2 contenant du graphène, déjà provisoirement suspendue en France, doit être évitée par précaution faute de données sur la toxicité de ce matériau synthétique, juge ce mardi l'agence de sécurité sanitaire Anses. "L'Anses recommande aux autorités publiques de privilégier la mise sur le marché ou la mise à disposition de masques sans graphène", indique l'agence dans un communiqué après une expertise demandée par la Direction générale de la santé.

En avril, le Canada avait été le premier pays à mettre en évidence les risques potentiels des masques FFP2 (ou KN95, l'équivalent nord-américain) contenant du graphène. Il avait retiré par précaution les masques au graphène fabriqués par la société chinoise Shandong Shengquan New Materials, alors soupçonnés de pouvoir provoquer des problèmes pulmonaires. Après analyse, le Canada avait finalement autorisé à nouveau ces masques en juillet, estimant qu'ils ne présentaient pas de risque avéré.

"Résultats rassurants" pour les masques chirurgicaux utilisés par le grand public 

Les autorités françaises avaient déjà demandé en mai de ne plus utiliser les masques FFP2 au graphène, distribués en particulier aux professionnels de santé. Cette suspension avait été décidée en attendant l'évaluation des risques par l'Anses. Bien que les données disponibles "ne mettent pas en évidence de situations d'exposition préoccupantes", l'Anses juge "impossible d'évaluer le risque pour la santé". Elle note en effet un "manque d'information sur le graphène utilisé par les fabricants et sur la toxicité de cette substance, en particulier à long terme". C'est pourquoi elle estime préférable d'éviter ce type de masques par précaution. 

Par ailleurs, dans un avis distinct, l'Anses s'est penchée sur les masques chirurgicaux utilisés par le grand public. Le but était d'évaluer les éventuels risques liés à la présence de substances chimiques et leur inhalation ou contact avec la peau. Cette expertise a donné des "résultats rassurants" si les masques sont utilisés conformément aux instructions (changés tous les quatre heures, portés dans le bon sens, etc.).

"Les expositions aux substances chimiques retrouvées dans les masques ne dépassent pas les seuils sanitaires, aussi bien pour les adultes que pour les enfants", selon l'Anses. Cela "garantit l'absence de risque pour la santé des populations, que ces substances soient inhalées ou en contact avec la peau", lorsque les masques sont correctement portés, explique dans le communiqué Céline Dubois, coordinatrice de cette expertise à l'Anses. 

LCI du 13 décembre 2021 

"La 6e vague va venir en janvier" : les craintes de Martin Hirsch face au variant Omicron

CRAINTES - Le directeur de l'AP-HP a évoqué, ce lundi, les fêtes de fin d'année, demandant aux Français de "ne pas faire la bamba partout". Notamment car il redoute une 6e vague en janvier, liée à Omicron.

La mise en garde de Martin Hirsch. Invité ce lundi 13 décembre sur RTL, le patron de l'AP-HP a prévenu contre le risque d'une sixième vague de Covid-19 qui pourrait déferler en janvier. Notamment en raison des interactions entre les Français durant les fêtes de fin d'année, mais aussi la propagation du variant Omicron.

"On n'a pas dit un mot de la sixième vague, avec Omicron, qui va venir après, en janvier", a lancé Martin Hirsch à la fin de son interview. Une vague qui pourrait être atténuée selon lui grâce aux comportements des citoyens : "Qu'on essaie de préserver le fait qu'on se retrouve en famille, on le comprend très bien. Mais en revanche, ce n'est pas la peine d'aller faire la bamba partout, sinon on va foutre l'hôpital en carafe", a prévenu Martin Hirsch.  

"Des lits fermés depuis la rentrée" 

Et de préciser : "Il y a des lits fermés depuis la rentrée parce qu'en France, les 18 mois de rythme fou, ont eu un effet où des professionnels se sont arrêtés de travailler. On a beaucoup moins de recrutement qu'auparavant". Il l'assure, si certains établissements médicaux ont prévu le "plan blanc" pour déployer le personnel et ainsi accueillir plus de patients, cela est loin d’être "un plan miracle". 

Selon le professeur Antoine Flahault, la France pourrait être bientôt touchée par le variant. "On a tendance à croire que ce qui se passe loin de nous n'arrivera pas chez nous", souligne-t-il sur LCI. Or, "ce qui se passe pour le Royaume-Uni ressemble beaucoup à ce qui s'est passé pour le variant Delta : il a commencé par envahir le Royaume-Uni avant d'envahir l'Europe", ajoute-t-il. En somme, résume le professeur, il très "probable" que le variant Omicron s'installe en Europe "comme il le fait au Royaume-Uni." 

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