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2 décembre 2021

Covid-19

Sud-Ouest du 2 décembre 2021

2021 12 02 SO 13 cas suspects du variant Omicron en France

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2021 12 02 SO Traitement anti-Covid Pas de miracle

2021 12 02 SO Echos Covid

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2021 12 02 SO Echos Covid3

2021 12 02 SO Margaux-Cantenac Un point sur la situation Covid en Médoc

LCI du 1er décembre 2021 

Covid-19 : la vaccination obligatoire n'est "pas le choix de la France", assure Olivier Véran

2021 12 01 lci vaccination obligatoire

POSITION - "Qui dit obligation dit contrôle et sanction, donc la faisabilité n'est pas évidente", a expliqué ce mercredi le ministre de la Santé alors que la question de la vaccination obligatoire contre le Covid-19 fait son chemin en Europe.

La Commission européenne a appelé mercredi les pays de l'UE à réfléchir dès maintenant à la vaccination obligatoire contre le Covid-19, dont le variant Omicron continue de se propager dans le monde. Au sein de l'Union, cette option a déjà été retenue en Autriche et est envisagée par l'Allemagne.

Mais ce "pas le choix de la France", a assuré ce mercredi le ministre de la Santé, Olivier Véran. Et de détailler : "Qui dit obligation dit contrôle et sanction, donc la faisabilité n'est pas évidente". 

Pas "impossible" 

"On sait faire une obligation vaccinale chez les tous petits, chez les nourrissons (...). Chez les adultes, c'est plus compliqué", a-t-il insisté, tout en soulignant que ce n'était toutefois pas "impossible". 

"Nous avons fait le choix du pass sanitaire qui a été un incitatif puissant, et nous avons fait le choix de multiplier toutes les opérations 'd'aller vers'", a poursuivi Olivier Véran, précisant que la couverture vaccinale en France, avec plus de 90% de la population éligible ayant reçu une première injection, était "beaucoup plus importante" que celle de nos voisins qui envisagent la vaccination obligatoire. "Bien sûr, je souhaite ardemment que ceux qui n'ont pas encore fait cette démarche de se faire vacciner le fassent, et sans obligation si possible, évidemment", a ajouté Olivier Véran, précisant que "ces derniers jours, 30.000 à 40.000 Français qui n'étaient pas jusqu'ici vaccinés, se sont rendus chez leur médecin ou pharmacien". 

S'agissant de la troisième dose, "l'effet coupe-feu d'une campagne de rappel vaccinal massive a fonctionné dans d'autres pays, ça fonctionnera chez nous", a conclu le ministre de la Santé, alors que toute la population adulte y est désormais éligible. "Près de 8 millions de rappels ont été effectués", a-t-il annoncé plus tard sur Twitter, estimant que "nous pourrons d’ici la fin de cette semaine dépasser les 10 millions de Français ayant reçu leur rappel" dans un contexte où "la campagne de vaccination bat son plein". 

LCI du 1er décembre 2021 

Covid-19 et grossesse : des risques accrus pour la maman, pas d'effet sur le cerveau du bébé

 MATERNITÉ - Deux études, parues mardi 30 mardi 30 novembre, éclairent sur les conséquences du Covid-19 pendant la grossesse. Une infection augmenterait les risques de complications chez les futures mamans, mais n'aurait toutefois pas de conséquence sur le développement du cerveau du fœtus.

"Il est prouvé que la vaccination protège la femme enceinte." Le 17 novembre dernier, les sociétés savantes de gynécologie insistaient sur l'importance pour les futures mamans, plus vulnérables et ayant une immunité amoindrie, d'être immunisées contre le Covid-19. "Des études ont montré que les femmes enceintes vaccinées sont moins souvent infectées", soulignaient le Groupe de recherche sur les infections pendant la grossesse (GRIG) et le Collège national des gynécologues et obstétriciens français (CNGOF) dans un communiqué qu'ils ont cosigné. Mieux vaut donc être vaccinée avant ou pendant la grossesse.  

Une étude, publiée dans la revue PLOS Medicine, et rapportée par Le Parisien, mardi 30 novembre, tend ainsi à prouver que les femmes enceintes, qui contracteraient le SRAS-CoV-2, seraient plus à même de rencontrer des complications au cours de la grossesse et de l'accouchement. S'appuyant sur la base de données française des hospitalisations, les chercheurs ont étudié les près de 245.000 naissances sur la période de janvier à juin 2020. Les facteurs de risque, liés au Covid, ont été pris en compte, comme l'âge de la future mère, l'obésité ou encore les antécédents de diabète et d'hypertension. 

Sud-Ouest du 1er décembre 2021 

Covid-19 chez les enfants : le taux d’incidence explose, le Sud-Ouest largement au-dessus des moyennes nationales

2021 12 01 enfants

En une semaine, le taux d’incidence a quasiment doublé chez les jeunes enfants de 6 à 10 ans. Et presque tous les départements du Sud-Ouest sont largement au-dessus de la moyenne nationale

Alors que les indicateurs nationaux s’envolent et dépassent désormais les pics de la précédente vague de l’épidémie, les tranches d’âge les plus atteintes par le virus ces dernières semaines sont les plus jeunes, en particulier les 6-10 ans dont le taux d’incidence dépasse les 654 cas pour 100 000 habitants, largement au-dessus de la moyenne de la population qui était de 292 pour la semaine du 21 au 27 novembre, selon les données de Santé Publique France.

Le taux d’incidence chez les écoliers est même supérieur à 1 000 dans huit départements dont les Pyrénées-Atlantiques (1 195 cas pour 100 000 habitants) et le Lot-et-Garonne (1 013).

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Des niveaux inquiétants dans le Sud-Ouest

Les autres départements du Sud-Ouest ne sont pas épargnés par cette tendance puisque pratiquement tous affichent pratiquement des taux d’incidence beaucoup plus élevés que la moyenne nationale : les Landes sont à 895 cas pour 100 000 habitants et la Gironde à 893. Le taux est à 706 en Charente et à 546 en Charente-Maritime.

Cet indicateur a explosé par rapport aux semaines précédentes. Au niveau national, le taux d’incidence dans cette tranche d’âge a augmenté de 92 % en une semaine. Le même rythme est observé en Gironde (+83%) ou en Dordogne (+86%). Et la hausse est aussi très soutenue en Charente-Maritime (+65%) ou dans les Landes (+37%).

En revanche, cette augmentation est encore plus rapide dans les Pyrénées-Atlantiques (+155%) et dans le Lot-et-Garonne (+137%) qui figurent parmi les dix départements français où le taux d’incidence est le plus élevé chez les 6-10 ans.

Les élèves de maternelle sont également de plus en plus concernés par le Covid, avec là aussi des taux d’incidence supérieurs à la moyenne nationale (300) : c’est aussi dans les Pyrénées-Atlantiques que cette tranche d’âge est la plus touchée avec 558 cas pour 100 000 habitants. Le taux atteint 434 en Gironde, 388 dans le Lot-et-Garonne, 385 dans les Landes, 369 en Charente. Et il frôle la moyenne en Dordogne (295) et en Charente-Maritime (275).

Depuis le début de la pandémie en 2020, les taux d’incidence chez les 0-2 et les 3-5 ans n’avaient jamais atteint ces niveaux.

Les collégiens plus touchés que les lycéens

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Les taux d’incidence chez les collégiens sont également plutôt élevés, avec des pics à 696 dans les Landes, 643 dans le Lot-et-Garonne, 522 dans les Pyrénées-Atlantiques et 456 en Gironde, bien au-dessus de la moyenne nationale à 387. Alors même que cette tranche d’âge a pu bénéficier de la vaccination, contrairement aux 6-10 ans.

Ce sont finalement les lycéens, eux aussi largement vaccinés, qui semblent le plus à l’abri pour le moment : le taux d’incidence national des 15-17 ans est de 234 cas pour 100 000 habitants, en-dessous de la moyenne en population générale. Dans le Sud-Ouest, seuls les départements du Lot-et-Garonne (416), des Landes (297) et des Pyrénées-Atlantiques (287) se situent au-dessus.

Davantage de tests, davantage de positifs

Dans le même temps, les dépistages des plus jeunes ont également très fortement augmenté : un élève sur dix a été testé dans la semaine du 21 au 27 novembre. Dans le primaire, près de 9 000 classes ont dû être fermées la semaine dernière, et les élèves ont dû se faire tester. Dans le secondaire, le protocole sanitaire incitait aussi au dépistage dès lors qu’un élève était déclaré positif, ses camarades devant se faire tester pour pouvoir retourner en classe.

Depuis cette semaine, tous les établissements scolaires ont intégré le nouveau protocole sanitaire préconisé par le ministère de l’Éducation : pas de fermeture de classes mais dépistage systématique, et obligatoire, pour les élèves dans le cas où un camarade est testé positif. Seuls les « négatifs » peuvent retourner en classe.

En Italie, l’incidence hebdomadaire en milieu scolaire ne dépasse pas les 125 cas pour 100 000 habitants, mais le gouvernement a choisi de revenir à une mise en quarantaine pour tous les élèves d’une classe, dès le premier cas confirmé parmi les enfants ou les enseignants.. 

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