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7 novembre 2021

Covid-19

Sud-Ouest du 7 novembre 2021

2021 11 07 SO Des pilules anti-Covid porteuses d'espoir

2021 11 07 SO Des pilules anti-Covid porteuses d'espoir2

2021 11 07 SO Dans les stations de ski le masque avant le passe

2021 11 07 SO 29 000 manifestants anti-passe sanitaire en France

2021 11 07 SO Bordeaux 400 personnes contre le passe sanitaire

2021 11 07 SO Bordeaux 400 personnes contre le passe sanitaire2

LCI du 7 novembre 2021 

EN DIRECT - Covid-19 : 6% des lits fermés dans les hôpitaux, selon une étude de la FHF

CORONAVIRUS - D'après la Fédération hospitalière de France (FHF), 6% des lits sont actuellement fermés dans les établissements de santé du pays. 

LCI du 6 novembre 2021 

Covid-19 : conditionner la validité du pass sanitaire à l'injection d'une 3e dose ? Pourquoi ce n'est pas si simple

ÉPIDÉMIE - Le gouvernement réfléchit à conditionner éventuellement la validité du pass sanitaire à l'injection d'une troisième dose de vaccin chez les personnes éligibles. Une mesure décriée qui pourrait être difficile à mettre en place.

L'hypothèse de rendre obligatoire l'injection d'une troisième dose pour pouvoir conserver son pass sanitaire est "une idée qui fait son chemin", selon Gabriel Attal, porte-parole du gouvernement. Mais la mise en place de cette mesure pourrait s'avérer compliquée, tant elle fait face à des obstacles juridiques et politiques. 

Une mesure qui va à l'encontre du secret médical ?

Lier l'obtention du pass sanitaire à ce rappel vaccinal semble ne pas être compatible avec le secret médical. Par exemple, le gouvernement ne peut pas suspendre le pass sanitaire d'une personne qui serait atteinte d'une comorbidité et qui refuserait une troisième dose alors même qu'elle lui est conseillée. Et pour cause, le gouvernement n'est pas censé avoir connaissance de cette comorbidité. 

Derrière cette mesure se cache également un enjeu politique. Faire rentrer la troisième dose dans le pass sanitaire, c'est acter le fait que l'on peut reconduire régulièrement le pass, quitte à y intégrer une quatrième ou une cinquième dose plus tard. À ce sujet, un sentiment de lassitude pourrait être observée chez les Français, mêlé à la crispation des parlementaires de l'opposition peu favorables à la prolongation du pass sanitaire dans la durée. 

Désormais, l'exécutif attend les conclusions de la Haute Autorité de santé (HAS) sur le sujet avant de prendre une décision, certainement lors du Conseil de défense sanitaire qui précédera l'allocution présidentielle de mardi soir. Si la France était amenée à conditionner la validité du pass sanitaire à la réalisation d'une troisième dose, elle rejoindrait les rangs d'Israël et du Maroc, des pays où la mesure est déjà mise en place. 

LCI du 6 novembre 2021 

VIDÉO - Covid-19 : de l'Europe de l'Est au Royaume-Uni, ces pays où l'épidémie s'emballe

CORONAVIRUS - La situation épidémique est devenue hors de contrôle dans les pays d'Europe de l’Est. Le reste du Vieux continent est sur ses gardes.

Depuis un mois et demi, dans de nombreux pays européens, les indicateurs virent au rouge. Dans l’Est, la Russie et les pays baltes enregistrent le plus de décès quotidiens. À l’Ouest, le nombre de cas flambe aussi au Royaume-Uni et en Belgique. La situation reste sous contrôle en France, en Italie, en Espagne ou encore au Portugal mais la vigilance reste de mise. 

La vague épidémique vient des pays d’Europe de l’Est et se traduit par une inquiétante augmentation du nombre d’hospitalisations et de morts. En Russie, le nombre de décès est dramatique. Selon le Kremlin, plus de 1000 personnes succombent au Covid chaque jour depuis le 20 octobre. "On avait moins de monde en février dernier. Il y a beaucoup de patients aujourd’hui et ils me semblent dans un état plus sévère. Là, c’est un cauchemar", affirme Natalya Kukhtinova, infirmière en réanimation dans un hôpital en Russie, dans le reportage de TF1 en tête de cet article. 

Alerte rouge à l’Est 

Le taux d’incidence dépasse les 500 cas pour 100.000 habitants dans les pays baltes, en Roumanie, en Bulgarie et en Europe de l’Est. Là-bas, le taux de vaccination reste très faible. Moins de la moitié des Croates sont vaccinés, par exemple. Ils se pressent depuis quelques jours dans les centres. "J’ai pensé à me faire vacciner mais j’étais un peu sceptique. Là, je me suis décidé pour la première dose aujourd’hui", déclare un Croate.  

Plusieurs pays ont décidé de reconfiner. C’est le cas de la Slovaquie qui a refermé ses bars et restaurants et vidé ses rues. "Toute la région est vide. On est tous fermés. Qu’on soit vaccinés ou pas on est tous dans la même galère", témoigne la directrice d’un hôtel slovaque.  

Inquiétude au Royaume-Uni et en Belgique 

Le nombre de cas augmente aussi dans les pays mieux vaccinés mais qui ont relâché les restrictions cet été comme la Grande-Bretagne. Les cas de Covid remontent en flèche chez nos voisins Belges qui ont instauré le pass sanitaire plus tard. Le 19 octobre, la Belgique relevait 293 nouveaux cas contre 634 le 4 novembre. Il en est de même pour la Suisse et pour le Danemark qui, lui, a abandonné le pass sanitaire plus tôt. Le nombre de cas y a quadruplé en un mois.  

L’Europe du Sud sous surveillance 

En France, en Italie, en Espagne et au Portugal, la résistance s’explique par un taux de vaccination très haut et un pass sanitaire restrictif. Mais selon l’épidémiologiste Antoine Flahault, nous bénéficions aussi d’une météo clémente. "Ce calme pourrait être perturbé par ce bouillonnement que l’on sent à nos frontières, que l’on sent proche et qui est favorisé par la saison automno-hivernale", affirme-t-il.  

En France, le site Covid Tracker recense 66 admissions en soins critiques, soit 8% de plus que la semaine dernière. Le nombre de morts est de 33 et a augmenté de 12%. En cause, les regroupements dans les espaces confinés et le manque d’aération l’hiver. Le gouvernement reste inquiet de la situation en France et en Europe. Emmanuel Macron s’adressera aux Français ce mardi.  

LCI du 5 novembre 2021 

Covid-19 : une partie de la population est davantage exposée aux formes graves, selon une étude

RECHERCHE - Selon des scientifiques de l'université d'Oxford, un gène présent chez 60% des Sud-Asiatiques et 15% des Européens provoquerait un risque doublement accru d'insuffisance respiratoire lors d'une infection au Covid-19.

Depuis deux ans, la pandémie de Covid-19 ne cesse de bouleverser la planète. Ces derniers mois, une partie de la population a été vaccinée, tandis que des médicaments antiviraux commencent à arriver sur le marché. Mais le virus, dont une nouvelle vague semble démarrer en Europe, cache encore de nombreux mystères. Parmi eux, la vulnérabilité de chacun face à la maladie.

Selon des chercheurs de l'université d'Oxford, dont les travaux ont été publiés jeudi 4 novembre dans la revue Nature Genetics, un gène pourrait être à l'origine d'un sur-risque de formes graves et de décès chez une partie de la population. Il s'agit du LZTFL1, d'après son nom scientifique.

Grâce à l'intelligence artificielle, les scientifiques ont découvert que ce gène empêcherait les cellules respiratoires ainsi que les poumons de fonctionner correctement lorsque le virus pénètre dans l'organisme. Ce qui doublerait le risque d'insuffisance respiratoire, et donc de décès.

15% des Européens seraient concernés 

Toujours d'après les auteurs de cette étude, ce risque supplémentaire n'affecterait pas toutes les populations de la même manière. Car ce gène serait présent chez 60% des personnes d'origine sud-asiatique, contre 15% des personnes d'origine européenne. Une différence "qui explique en partie le taux de mortalité toujours plus élevé dans cette partie de la population au Royaume-Uni". 

Toutefois, ce risque accru pourrait être compensé par la vaccination. Selon le Pr James Davies, l'un des directeurs de l'étude, la vulnérabilité d'une partie de la population "devrait être annulée" grâce au vaccin, selon des propos rapportés par Sky News. D'après lui, cette découverte reste "un pas en avant important", qui ouvre la voie à des traitements plus ciblés. 

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