Bien qu'aucune victime ne fut à déplorer lors de cet incendie, les conséquences sur certains sinistrés sont malheureusement dramatiques, les laissant dans le désarroi le plus total. Non seulement, ils ne peuvent plus occuper leur logement situé dans l'immeuble jouxtant le garage ravagé par l'incendie « dans l’attente de la mise en œuvre de mesures d’urgence » qu’ils attendent toujours, mais doivent toujours faire face à leur loyer.
Sud-Ouest du 30 juin 2018
Bordeaux : un mois après l’incendie à Fondaudège, la galère de sinistrés
Sur la vingtaine de sinistrés de l’incendie du Central Garage, tous ne sont pas sortis d’affaire. ARCHIVES THIERRY DAVID
"Ils habitaient au-dessus ou à côté du Central Garage, place Charles-Gruet, qui a brûlé le soir du 26 mai. Ils ont tout perdu ou se retrouvent dans la nasse.
Ils s’appellent June Capdeville, Noëlle Combet, Benoît Duboys de Labarre, Adeline Laugraud et Thomas Parmentier. Ils font partie de la vingtaine de sinistrés de l’incendie du Central Garage, l’un des plus anciens de Bordeaux, qui a entièrement brûlé dans la soirée du 26 mai. Ils habitaient dans des logements situés au-dessus et à côté de cette institution bordelaise, place Charles-Gruet, dans le quartier Fondaudège, ou tenaient des commerces voisins. Certains ont tout perdu dans le sinistre, d’autres ont été un peu moins touchés. Ils viennent de vivre un mois de galère. Tous n’en sont pas sortis."...
2018_06_30_SO_Bordeaux_un_mois_après_l'incendie_à_Fondaudège_la_galère_de_sinistrés